[Bon, je viens de lire la fiche de sam... j'ai peut-être fait un peu trop, désolé. Bonne lecture!]
Identité :Race : Humain
Nom :/
Prénom:Lomyr?
Age :12 ans en apparance
Métier :"Mercenaire"
Description:Physique : Lomyr est un enfant humain. Traits banals, espiègles; il est exactement un gamin impossible, comme tout gamin qui soit. Physiquement, du moins, il en tire un portrait très réaliste; ses mimiques, ses gestes: tout ça peut faire penser qu'il est particulièrement enfantin. Il arbore une chevelure mal coupée, assez sombre - entre le noir et le brun - et très souvent sale. Comme de nombreux gamins, il est crasseux: les écorchures, une cicatrice le long du bras droit, la saleté et la boue lui font comme une seconde peau. Il dégage - quand il le veut - cette sensation particulière aux enfants: on le sent inoffensif, amical, rieur, espiègle. Seuls ses deux yeux bleus, pâles, tranchent avec le commun de ses traits. Ils sont durs, mais aps froid - on voit bien qu'il en a bavé, qu'il a du s'en remettre vite, qu'il a souffert souvent. Et pourtant, c'est encore ces deux grands yeux bleus qui regardent, qui fixent calmement, presque gentiment, tout ce qui se trouve autour de lui. S'il souriait, on aurait l'impression qu'il serait un enfant normal. Mais voilà, le problème de ce gamin: il ne sourit jamais... Il en a l'air dangereux. Cette sueur, cette saleté, cette boue - ce sang - qui maculent ses vêtements; on ne sait pas s'il a fait toutes ses tâches en jouant. Ces deux yeux fixes, calme, et des fois immobiles: il vous regarde, encore, avec toujours le même air - est-ce vraiment de l'espièglerie? Il en ferait presque peur.
Caractère : Lomyr est un tueur. Pas un de ces petits assassins de pacotille qui se déclarent des vrais hommes en essayant de massacrer les passants; c'est un garçon très intelligent, qui de plus sait parfaitement manier son arme. Il est capable de citer de mémoire une douzaines de poisons différents et leurs effets, il a suffisament combattu pour savoir reconaître les défauts d'une armure, il peut torturer - théoriquement, en général, ce n'est pas dans son intérêt. Il reste dans l'ombre, et n'est pas encore réelement connu; cependant, en quatre ans d'activité, il a fait de nombreuses victimes. Ce n'est pas un assassin, il n'agit pas dans le simple but du meurtre: c'est un mercennaire, il agit sur commande. Lomyr tue pour vivre, mais c'est un travail comme un autre.
Lomyr a tendance à rester en retrait, à être calme et posé, il ne se montre pas et il ferait probablement un très mauvais chef. Il ne compte aps sur les autres et n'évalue que sa force, et quand il se joint à un groupe, il reste seul et agit très souvent seul. Il préfère cela, de cette façon on ne peut pas lui rejetter la faute et il n'a pas à la rejetter. Il en vivrait presque en autarcie: il n'y a que lui seul qui compte.
Sa personnalité n'est bien sûr pas aussi excveptionelle que ça: il ne se rend pas compte du passé. Il ne garde qu'une idée très vague de comment il a obtenu une information, et ne se souvient que de sa situation présente; de plus il est légerement paranoïaque. Personne ne doit veiller pour lui, il doit s'assurer lui-même de sa protection, il ne fait confiance à personne. Son esprit est fatigué, il est rageur quand il est en mauvaise situation; quand il fait preuve d'humour, il est cynique et railleur. Il est loin d'être quelqu'un de sympathique, aussi bien quand on le croise que quand on le connait. Il n'a aucune idée de ce que peut être la loyauté, il n'aime que lui et ne hait rien que ce qui est contre lui. Il reste quand même enfantin malgré tout - centré sur lui-même, ne pensant qu'à lui-même, il fait preuve d'un caractère pueril souvent.
Tenue vestimentaire :Tout dépend de ce qu'il a, de ce qu'il veut et de ce qu'il doit porter.
Autre :Histoire:Ris, ris! C'est la dernière fois que tu ris, ris! Profite de tes dernières joies, de tes derniers éclats, de tes derniers sourires! Demain je serais là, et il n'y aura plus rien pour toi.
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Pleure, pleure, c'est la première fois que tu péris, pleure! Je profite de tes derniers sanglots, de ces derniers éclats, de tes derniers cris! Hier tu étais loin, et il n'y a plus rien pour toi maintenant.
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Mange, mange! Demain pourras-tu manger? Demain auras-tu le bonheur de sentir encore cette nouriture dans ta bouche? Je te connais, comme tous les autres: accroches-toi à la fin de tes joies, demain tu me les supplieras.
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Bois, bois! Hier tu pouvais aussi boire? Hier, tu savais déjà que le liquide allait te tuer? Je t'ai connu, comme tous les autres: tu me suplies, et tu grapilles les dernières joies que tu conaisses.
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Danse, danse! C'est fini, tu ne pourras plus danser après ce soir: je serais là pour te regarder et je suis là à te regarder danser. Tu me fais pitié, et demain, tu me demanderas comme tous les autres, pourquoi?
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Crève, crève! C'était avant que tu pouvais danser, je t'ai regardé hier, tout comme je te regarde maintenant?. Tu m'as fait pitié, comme tous les autres, alors que ça fait si longtemps que j'attends... et tu demandes comme tous: Pourquoi?
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Vis, vis! tu vis encore ce soir, mais vivras-tu demain? Non, je suis là pour faire en sorte que non. Je te hais, je t'en veux - et je te tuerais. Alors vis, vis encore, car c'est par toi que je vis.
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Meurs, meurs. Je ne veux pas entendre tes cris de chien galeux, tes sursauts d'agonie: je les entends chaque jour - pour que je vive il faut que tu meurres. Je hais cette vie facile que tu as eu! et je mourrai sans toi.
Arme : Je suppose qu'une épée celtique n'évoque pas grand chose à qui que ce soit.
C'est une lame de trois pieds, surmontée d'un manche fin de facilement dix-huit pouces, bandé de cuir noir: elle ressemble vaguement aux épées batardes par cela. La garde est plutôt petite, plus une extention du manche qu'une protection à part entière; le pommeau est sculpté, doucement, en arabesques et en créatures étranges - espèces de chiens, sortes de faucons - et serti d'une simple gemme, ici une opale sombre, presque noire. Le manche en bois laqué, vissé et en cuir lui donne un air rafiné et rare, que vient confirmer la lame: elle est d'une forme inhabituelle qui donne pourtant à l'arme un équilibre très sûr. Elle commence par une sorte de creux, doux en son angle et tranchant en sa lame; elle continue par un renflement qui y concentre le poids - multipliant les dégats lors d'attaques longues ou tournantes.
[Couplé au pommeau alourdi, on peu faire à peu près ce qu'on veut avec du moment qu'on sait la manier. La main à la fin du manche, un utilise l'équilibre classique pommeau - lame qui permet des mouvement amples, souples. La main près de la lame, on utilise l'autre équilibre creux - renflement, qui sert à augmenter la puissance au détriment de la précision. Enfin, une prise en main au milieu du manche permet d'utiliser partiellement les deux équilibres, mais elle demande un entraînement assez long avant d'être maniée correctement.]
De manière un peu plus simple; c'est une épée entre la longue et la batarde d'environ cinq kilogrammes, avec différentes façons de manier.
Particularité : aucune.
PS: je sais que l'histoire est... disons étrange. Je vous invite à relire le carctère si elle vous gêne vraiment: Lomyr n'a pas conscience de son passé. Il sait ce que veut dire hier, mais il n'a aucune idée d'où il vient, ni de quoi que ce soit. Aussi, j'ai dépeins sa vie telle qu'elle est - toujours le même mort, toujours la même chose. Voilà, juste cette précision.